Achat après achat, j’ai continué à réfléchir pour optimiser le rendement et la valeur des opérations à long terme. Ainsi, j’ai par exemple acheté des appartements sans syndic et donc sans charges de copropriété.
Être son propre syndic, faire le ménage de la cage d’escalier ou changer une ampoule soi-même permet d’économiser pas mal sur l’année !
Mais racheter des biens, ce n’est pas seulement du rendement, du matériel : la dimension humaine compte beaucoup. D’une part dans la négociation avec le vendeur : il faut trouver le ton et les arguments justes pour faire baisser le prix sans le froisser et perdre la vente au détriment d’un concurrent.
D’autre part, récupérer un bien pour un investissement locatif, c’est récupérer ses locataires. Souvent, cela peut être une des causes de la vente du bien : des mauvais payeurs, ou des locataires qui dégradent le bien, font du bruit, troublent le voisinage de mille et une manières.
Enfin, même si tout à l’air en bon état général au moment de la visite, certains éléments peuvent être un peu cachés : coup de peinture vite fait sur les traces d’humidité, visite à une heure où il y peu de circulation etc. Une deuxième visite n’est souvent pas de trop, ne serait-ce que pour bien rencontrer tous les locataires et voir l’ensemble des logements.
Voilà le genre d’histoires et de conseils que relate ce site. Au plaisir de vous y retrouver !
